Si vous vous demandez pourquoi "bilan" et non "projet", c'est parce que certaines méthodes comme la Méthode Déclic conseillent de commencer par le bilan afin de mettre en évidence ce que la personne sait faire et ce qu'elle veut faire. L'objectif de cette démarche va donc être de permettre à la personne qui le réalise de se connaitre davantage professionnellement parlant.
Le bilan a été établi grâce à la Méthode Déclic et aux documents de la psychopédagogue Dorothée Jardon.
Le bilan professionnel aborde plusieurs points.
L'exercice 1 permet d'évaluer les représentations de l'élève que nous poussons à la métacognition comme le conseillent les théories de Vygotsky et Bruner.
L'exercice 2 reprend tout le questionnaire divisé en sous-points:
ü les points A à E abordent le thème de la connaissance et de la compétence. Il est donc demandé à l'étudiante de retracer son parcours en mentionnant les changements, les échecs et les réussites. De plus, l'apprenante devra définir quelles sont ses compétences et connaissances;
ü les points F et G abordent le thème de la personnalité. L'apprenante doit parler d'elle-même, de ses traits de caractère et de son système de valeurs;
ü les points I et H permettent d'établir une synthèse.
L'exercice 3 permet de vérifier si l'objectif prédit par la Méthode Déclic quant à l'élaboration d'un bilan professionnel a été atteint. Autrement dit, on souhaite savoir si l'étudiante se connait davantage sur le plan professionnel grâce au bilan. La question, concernant les objectifs finaux du projet professionnel, reste volontairement imprécise pour que l'apprenante puisse les induire.
D'un point de vue méthodologique, l'exercice se déroulera en deux temps:
1. l'apprenante complète le questionnaire sans aide et sans consigne;
2. étudiante et professeur complètent ensemble le questionnaire.
Cette méthodologie a pour but de mettre en pratique et de vérifier les théories avancées par Bruner et Vygotsky.